Quatuor d’airain (Lucienne Payan-Cornet)
Les quatre formes de bronze figurent les positions successives du bond puissant d’un animal impressionnant. Quatre séquences d’un mouvement qui rendent sensible le rapport entre l’espace et le temps dans un grand élan de liberté.
Monument pour A (Rose-Marie Goulet, artiste)
Les inscriptions gravées à même le sol, les éléments sphériques disposés en hauteur et le traitement pictural des grands murs et des plafonds du hall sont des éléments propres aux congrès. Le traitement pictural des grands murs supérieurs et des plafonds du hall d’entrée, dans différentes tonalités de bleu en dégradé, constitue en outre une troisième dimension de la même œuvre.
D’un lieu à l’autre (Chantal Séguin)
L’œuvre habite l’escalier liant le hall principal au corridor public. Une centaine de personnages en acier inoxydable déambulent, tête à l’envers sur le plafond et des échelles suspendues. Avec son concept, l’artiste souhaite soulever un questionnement sur les lieux de passage, de rencontre et de transition en visitant par un regard contemporain l’escalier comme forme sculpturale.
Paraiso (René Derouin, artiste)
La murale de 2,40 sur 31 m représente la dualité du baroque symbolisée par le métissage des grandes cultures amérindienne et coloniale espagnole du patrimoine mexicain, que l’artiste regarde à travers les yeux de la culture québécoise.